Samedi 3 mai : même situation que la veille, en plus chaud... à tous points de vue ! Sous des voiles de cirrus/Altostratus parfois assez épais, la masse d\'air a du mal à chauffer, difficile de tenir en l\'air même sur la coopérative d\'Armagnac de Nogaro, célèbre pour être la pompe de service par vent d\'est... au moment du départ, pas plus de 500 m sol, il faut y croire... ceux qui y ont cru arrivent à atteindre les Landes, sauf Micro-bada qui sans doute y a trop cru et inaugure le champ de Campagne d\'Armagnac (plus grand que l\'aérodrome...), ou les thermiques bien qu\'espacés et irréguliers donneront 1400 m avec des vitesses ascentionnelles de 1 à 2,5 m/s. Mais les meilleures choses ont une fin, et le retour est encore plus délicat que l\'aller, 4 planeurs ne pourront passer la dernière colline et feront les 15 derniers km en remorque ou au moteur... Bravo aux 5 planeurs rentrés, du Nimbus 4 au Pégase ! Les vitesse moyennes sur Nogaro, Houielles, Le Poteau et retour ne sont cependant pas exceptionnelles et ne dépasseront pas le minimum requis pour marquer des points de vitessse (à savoir, 1h 46 maxi pour boucler le circuit, la distance étant de 92 km pour le Pégase à 115 pour les grands libres). Les premiers se retrouvent donc à égalité, "vachés terrain", avec un score avec 79km chacun.